Procès-verbal de la première rencontre
Si jamais j'ai oublié des choses, ou qu'il y a des corrections à apporter, n'hésitez pas à me le faire savoir!
Procès-verbal de la 1ère rencontre de propriétaires de chiens de la région de Québec
Jeudi 25 mai 2006 17h30, parc Victoria
Étaient présents :
• Louise Noël : Vanille
• Sylvie Walter, mentor de Tog (absent)
• Monique Krownikoff, Isabelle Giguère : Corky et (Shyrka ?)
• Isabelle Picard : Dali
• Marie-France DeMatos : x labrador noir (Baya?)
• Chantal Douville, future mentor de Jamie (absente)
• Stephan Gizdic(?) : Ti-loup, Moka et Tommy
• Julie Paquin : x berger noir (Noisette?)
• Chantal Béland : Naïma
• Mélanie Paré : Zoé Lamothe
Sujets dont les mentors ont discuté pendant que les chiens faisaient connaissance :
1- Présentations;
2- Discussion sur ce que l’on veut et ce que l’on attend d’une aire d’exercice pour chiens, des obstacles que l’on prévoit rencontrer et comment on pense pouvoir les surmonter;
3- Échange de renseignements sur les étapes à suivre pour monter un projet d’aire d’exercice pour chiens;
4- Brainstorm pour un premier jet de rédaction de pétition;
5- Répartition de tâches et échange de coordonnées.
1- Présentations
Puisqu’il s’agit de la première rencontre, nous nous sommes présentées. Plusieurs des mentors présentes ont été « recrutées » en chemin vers le point de rencontre, d’autres se sont jointes à nous lorsqu’elles nous ont apperçues, ne sachant même pas qu’il y avait une réunion à ce propos. Elles sont tout de même restées, comme quoi y’a vraiment du monde qui veut que ça bouge dans ce dossier-là à Québec.
Les chiens se sont chargé de faire plus ample connaissance. Zoé semblait exprimer une certaine réticence et quelques protestations dues à la grosseur, au nombre et à l’enthousiasme fougueux qu’ont démontré certains des autres chiens (t’en fais pas la puce, tu vas vite les rejoindre! Snif!). Shyrka (?), quant à elle, filait un peu grognonne et a fait comprendre aux autres qu’elle voulait rester tranquille un peu (ont a toutes des moments du genre, pourquoi pas nos chiens?).
2- Discussion sur ce que l’on veut et ce que l’on attend d’une aire d’exercice pour chiens, des obstacles que l’on prévoit rencontrer et comment on pense pouvoir les surmonter
Bien sûr, nous aimerions avoir un parc à chiens dans tous les arrondissements de Québec, mais nous concentrerons d’abord nos efforts pour en créer au moins un, puis le « gabarit » (pétition, activités, etc.) sera prêt et réutilisable pour d’autres arrondissements. Il faudra commencer par nous entendre sur un endroit pour un premier parc, puis les autres viendront… C’est pour cette raison que l’appel fait aux propriétaires de chiens s’adressait aux gens de tous les arrondissements et non d’un seul quartier. En unissant nos voix, nos forces et nos imaginations, notre projet s’en trouvera enrichi d’autant, et ses chances de réussite en seront décuplées.
Certains ont parlé d’avoir une aire d’exercice divisée deux parties : une pour les petits chiens et une pour les grandes races. D’autres ont parlé de l’emménagement, de l’entretien, des règlements. De plus amples recherches pourront être faites sur ces sujets, mais plusieurs bonnes idées ont étés avancées. Il faudra les prendre en note lors d’une prochaine réunion, et aussi commencer à « spotter » quels seraient les bons endroits pour un parc à chiens… Le site doit être accessible, mais éloigné des résidences (à cause du bruit), des aires de jeux pour enfants, et ne peut être déjà réservé aux sports.
L’obstacle majeur que nous pensons rencontrer, c’est le conseil municipal. Effectivement, il existe déjà un « parc » à Québec, mais celui-ci n’est à peu près pas utilisé : il est mal situé et très mal emmenagé. Nous anticipons donc des protestations du genre : « Vous en avez un parc à chiens mais vous ne l’utilisez pas ». Il nous faudra aussi compter avec la mairesse, dont nous ne pensons pas avoir une très grande collaboration, mais sait-on jamais…
3- Échange de renseignements sur les étapes à suivre pour monter un projet d’aire d’exercice pour chiens
Selon l’information que nous avons glanée, la première étape est de former une association de maîtres de chiens. Nous sommes 10, et nous savons que plusieurs personnes voulaient être présentes, mais n’ont pas pu se joindre à nous pour diverses raisons. Nous sommes sur la bonne voie. Reste à savoir comment on forme une association (faut-il des papiers légaux, etc.).
Il faut ensuite faire une présentation par écrit du projet : emplacement, grandeur, emménagement, etc.
Certaines associations font appel à des compagbnies pour produits animaliers pour obtenir du financement, etc. Cette option reste à explorer.
Il faut également faire signer une pétition au plus grand nombre de personnes possible, propriétaire de chien ou non (voir le point suivant pour quelques-uns des arguments)
Éventuellement, nous pourrions avoir besoin de nous présenter au conseil municipal pour faire valoir notre point.
4- Brainstorm pour un premier jet de rédaction de pétition
Nous avons établi que les meilleurs arguments pour l’ouverture de parcs à chiens à Québec sont les suivants :
• Pour respecter les lois en vigueur;
• Pour la sécurité de tous et surtout des enfants;
• Pour que les parcs publics demeurent propres;
• Pour que les chiens ne dérangent plus la quiétude du voisinage;
• Pour garder nos chiens en bonne santé mentale et physique;
• Le projet RESPECT de la mairesse Boucher.
Il est également ressorti de la conversation que ces même arguments peuvent servir à convaincre les personnes qui ne sont pas propriétaires de chiens de signer la pétition.
Chantal (Naïma) prévoit passer les prochains jours à la rédaction de la pétition, car elle compte faire une séance de signatures dimanche à la fête sur la rue Saint-Jean.
Plusieurs idées d’endroits où nous pourrions déposer des copies de la pétition ont aussi étés avancées.
5- Répartition de tâches et échange de coordonnées.
Chantal (Naïma) se charge donc de la rédaction de la pétition et de la faire parvenir aux personnes qui sont présentes par courriel (seule Louise (Vanille) n’utilise pas Internet). Mélanie (Zoé) se charge d’écrire le procès-verbal de la rencontre et de le faire parvenir aux autres. Elle essaiera également d’entrer en contact avec des représentants d’associations de propriétaires de chiens pour savoir comment il faut s’y prendre au juste pour former une association, etc. Les adresses courriels de tout le monde sont prises en note par Chantal, qui la fera parvenir à Mélanie.
Dernières lichettes entre chiens et au revoirs entre les maîtres. À la sortie du parc, nous avons rencontré Stéphane qui arrivait tout juste. Nous avons pris son adresse en note et nous lui communiquerons tous les renseignements par voie électronique.
Aucune date ni aucun endroit n’a été déterminé pour la prochaine réunion. À suivre sur le blogue créé pour la cause, Les citoychiens de Québec
Procès-verbal de la 1ère rencontre de propriétaires de chiens de la région de Québec
Jeudi 25 mai 2006 17h30, parc Victoria
Étaient présents :
• Louise Noël : Vanille
• Sylvie Walter, mentor de Tog (absent)
• Monique Krownikoff, Isabelle Giguère : Corky et (Shyrka ?)
• Isabelle Picard : Dali
• Marie-France DeMatos : x labrador noir (Baya?)
• Chantal Douville, future mentor de Jamie (absente)
• Stephan Gizdic(?) : Ti-loup, Moka et Tommy
• Julie Paquin : x berger noir (Noisette?)
• Chantal Béland : Naïma
• Mélanie Paré : Zoé Lamothe
Sujets dont les mentors ont discuté pendant que les chiens faisaient connaissance :
1- Présentations;
2- Discussion sur ce que l’on veut et ce que l’on attend d’une aire d’exercice pour chiens, des obstacles que l’on prévoit rencontrer et comment on pense pouvoir les surmonter;
3- Échange de renseignements sur les étapes à suivre pour monter un projet d’aire d’exercice pour chiens;
4- Brainstorm pour un premier jet de rédaction de pétition;
5- Répartition de tâches et échange de coordonnées.
1- Présentations
Puisqu’il s’agit de la première rencontre, nous nous sommes présentées. Plusieurs des mentors présentes ont été « recrutées » en chemin vers le point de rencontre, d’autres se sont jointes à nous lorsqu’elles nous ont apperçues, ne sachant même pas qu’il y avait une réunion à ce propos. Elles sont tout de même restées, comme quoi y’a vraiment du monde qui veut que ça bouge dans ce dossier-là à Québec.
Les chiens se sont chargé de faire plus ample connaissance. Zoé semblait exprimer une certaine réticence et quelques protestations dues à la grosseur, au nombre et à l’enthousiasme fougueux qu’ont démontré certains des autres chiens (t’en fais pas la puce, tu vas vite les rejoindre! Snif!). Shyrka (?), quant à elle, filait un peu grognonne et a fait comprendre aux autres qu’elle voulait rester tranquille un peu (ont a toutes des moments du genre, pourquoi pas nos chiens?).
2- Discussion sur ce que l’on veut et ce que l’on attend d’une aire d’exercice pour chiens, des obstacles que l’on prévoit rencontrer et comment on pense pouvoir les surmonter
Bien sûr, nous aimerions avoir un parc à chiens dans tous les arrondissements de Québec, mais nous concentrerons d’abord nos efforts pour en créer au moins un, puis le « gabarit » (pétition, activités, etc.) sera prêt et réutilisable pour d’autres arrondissements. Il faudra commencer par nous entendre sur un endroit pour un premier parc, puis les autres viendront… C’est pour cette raison que l’appel fait aux propriétaires de chiens s’adressait aux gens de tous les arrondissements et non d’un seul quartier. En unissant nos voix, nos forces et nos imaginations, notre projet s’en trouvera enrichi d’autant, et ses chances de réussite en seront décuplées.
Certains ont parlé d’avoir une aire d’exercice divisée deux parties : une pour les petits chiens et une pour les grandes races. D’autres ont parlé de l’emménagement, de l’entretien, des règlements. De plus amples recherches pourront être faites sur ces sujets, mais plusieurs bonnes idées ont étés avancées. Il faudra les prendre en note lors d’une prochaine réunion, et aussi commencer à « spotter » quels seraient les bons endroits pour un parc à chiens… Le site doit être accessible, mais éloigné des résidences (à cause du bruit), des aires de jeux pour enfants, et ne peut être déjà réservé aux sports.
L’obstacle majeur que nous pensons rencontrer, c’est le conseil municipal. Effectivement, il existe déjà un « parc » à Québec, mais celui-ci n’est à peu près pas utilisé : il est mal situé et très mal emmenagé. Nous anticipons donc des protestations du genre : « Vous en avez un parc à chiens mais vous ne l’utilisez pas ». Il nous faudra aussi compter avec la mairesse, dont nous ne pensons pas avoir une très grande collaboration, mais sait-on jamais…
3- Échange de renseignements sur les étapes à suivre pour monter un projet d’aire d’exercice pour chiens
Selon l’information que nous avons glanée, la première étape est de former une association de maîtres de chiens. Nous sommes 10, et nous savons que plusieurs personnes voulaient être présentes, mais n’ont pas pu se joindre à nous pour diverses raisons. Nous sommes sur la bonne voie. Reste à savoir comment on forme une association (faut-il des papiers légaux, etc.).
Il faut ensuite faire une présentation par écrit du projet : emplacement, grandeur, emménagement, etc.
Certaines associations font appel à des compagbnies pour produits animaliers pour obtenir du financement, etc. Cette option reste à explorer.
Il faut également faire signer une pétition au plus grand nombre de personnes possible, propriétaire de chien ou non (voir le point suivant pour quelques-uns des arguments)
Éventuellement, nous pourrions avoir besoin de nous présenter au conseil municipal pour faire valoir notre point.
4- Brainstorm pour un premier jet de rédaction de pétition
Nous avons établi que les meilleurs arguments pour l’ouverture de parcs à chiens à Québec sont les suivants :
• Pour respecter les lois en vigueur;
• Pour la sécurité de tous et surtout des enfants;
• Pour que les parcs publics demeurent propres;
• Pour que les chiens ne dérangent plus la quiétude du voisinage;
• Pour garder nos chiens en bonne santé mentale et physique;
• Le projet RESPECT de la mairesse Boucher.
Il est également ressorti de la conversation que ces même arguments peuvent servir à convaincre les personnes qui ne sont pas propriétaires de chiens de signer la pétition.
Chantal (Naïma) prévoit passer les prochains jours à la rédaction de la pétition, car elle compte faire une séance de signatures dimanche à la fête sur la rue Saint-Jean.
Plusieurs idées d’endroits où nous pourrions déposer des copies de la pétition ont aussi étés avancées.
5- Répartition de tâches et échange de coordonnées.
Chantal (Naïma) se charge donc de la rédaction de la pétition et de la faire parvenir aux personnes qui sont présentes par courriel (seule Louise (Vanille) n’utilise pas Internet). Mélanie (Zoé) se charge d’écrire le procès-verbal de la rencontre et de le faire parvenir aux autres. Elle essaiera également d’entrer en contact avec des représentants d’associations de propriétaires de chiens pour savoir comment il faut s’y prendre au juste pour former une association, etc. Les adresses courriels de tout le monde sont prises en note par Chantal, qui la fera parvenir à Mélanie.
Dernières lichettes entre chiens et au revoirs entre les maîtres. À la sortie du parc, nous avons rencontré Stéphane qui arrivait tout juste. Nous avons pris son adresse en note et nous lui communiquerons tous les renseignements par voie électronique.
Aucune date ni aucun endroit n’a été déterminé pour la prochaine réunion. À suivre sur le blogue créé pour la cause, Les citoychiens de Québec